L’école Hap Quan d’arts martiaux traditionnels chinois de Limoges

COURS - STAGES - DÉMONSTRATIONS

adultes - enfants - seniors


L'école Hap Quan a été fondée à Limoges par Maître Xiao Wan LIANG en 1992. Cette ancienne championne de Chine souhaitait en effet partager sa passion des arts martiaux et transmettre en particulier sa connaissance du Hap Quan, un style de Kung Fu dont elle est l’héritière. Elle enseigne depuis au sein de l’école divers styles de Kung Fu mais également des disciplines  plus douces (dites aussi « arts internes ») comme le Tai Ji Quan, le Qi Gong et le Ba Gua. Elle dispense en outre des cours inspirés de ces disciplines traditionnelles, dans des formules adaptées aux attentes et besoins des seniors ou encore des personnes sédentaires en mal de condition physique.

Une école traditionnelle

L’école Hap Quan est organisée de manière traditionnelle. Il n’existe pas de ceinture pour distinguer les niveaux atteints par les différents élèves, contrairement au judo par exemple.

Les relations entre les membres de l’école sont faites de respect et d’entraide, dans une atmosphère souriante. Si l’émulation est jugée positive, la rivalité et l’agressivité ne sont pas admises. Chacun doit honorer la préséance et les consignes du professeur.

Pour Maître (sifu) Liang, pratiquer les arts martiaux au sein de l’école, c’est aussi approcher la culture chinoise dans toute sa diversité et sa richesse. Ainsi, chaque année, les élèves sont invités, s’ils le souhaitent, à célébrer le Nouvel An chinois en participant à des démonstrations et festivités.


Comme une famille

En Chine, les écoles d’arts martiaux forment chacune une grande famille. En témoignent les noms que les élèves se donnent traditionnellement entre eux : les derniers arrivés dans l’école, quel que soit leur âge, seront toujours les « petits frères » ou les « petites sœurs » des plus anciens et inversement.


Ainsi, en cantonais :


« siheng » sera utilisé pour désigner le grand frère (prononcer « sii-hhaingue »)

« sijie » pour la grande sœur (prononcer « sii-djé)

« sidaï » pour le petit frère (prononcer « sii-daille »)

« simuï » pour la petite sœur (prononcer « sii-mouille »)


Le maître est pour sa part appelé « sifu », c'est-à-dire « père » (prononcer « sii-fou »).